Auteur/autrice : Secrétariat

Message de notre Évêque : Vivre et faire grandir la fraternité dans nos communautés

Chers amis,

Je ne vous écris pas une nouvelle lettre pastorale, mais je veux simplement développer celle que je vous ai adressée le 1er octobre 2023

Je sais qu’elle a été lue, travaillée et je vous remercie de tout cœur pour l’accueil que vous lui avez réservé.

Je me réjouis de découvrir qu’en certains lieux, on ne s’est pas contenté seulement de la lire, mais elle a contribué à poser des actes. Oui, avec cette lettre j’ai voulu donner un cap pour ces prochaines années et il nous faut le maintenir. Sous la conduite de l’Esprit-Saint, ce cap nous aidera à nous préparer et à envisager sereinement les transformations que connaîtra notre Église diocésaine.

Dans 5 ans, le 30 août 2029, je remettrai ma démission au Pape puisque j’aurai atteint la limite d’âge des 75 ans. Ainsi se terminera la mission que le Seigneur m’a confiée en m’envoyant servir et aimer notre diocèse.

D’ici là, il n’y a pas de temps à perdre et jusqu’au bout je souhaite continuer à travailler pour le bien de notre Église diocésaine, afin

– qu’elle continue à être au service de l’amour de Dieu pour le monde, en témoignant la Joie de l’Évangile

– et qu’elle reste ouverte à l’accueil de nouveaux baptisés de plus en plus nombreux.

Je vais donc développer les quatre axes majeurs qui composent ma lettre :

→ La Fraternité : janvier 2025


→ L’Hospitalité : janvier 2026
→ Pour une Église de Pentecôte : janvier 2027
→ Vers un ministère de Visitation : janvier 2028

Au début de chaque année civile, je publierai le texte correspondant à chaque axe et qui complétera ma lettre pastorale.

Je consacre cette première année à la fraternité, si nécessaire à la vie et à la mission d’une Église de Pentecôte à la suite du Christ.
Cette réflexion peut s’articuler sans difficulté avec le livret biblique que Monseigneur Pierre-Marie Carré nous a présenté : « Vous êtes tous frères ».

En parcourant mon texte, vous trouverez en italique et en caractères gras quelques indications, suggestions et questions qui vous permettront de travailler, seul ou en petits groupes, ce beau trésor de la fraternité.

Obsèques du lundi 27 janvier au dimanche 2 février

  • Lundi 27

à 10h, en l’église de Graissessac, Madame Maryse MUNOZ (68 ans)

à 14h, en l’église de Magalas, Monsieur André FOURNIER (90 ans)

  • Mercredi 29

à 10h, en l’église de Lamalou, Madame Juliette KUINONERO (85 ans)

à 10h30, en l’église de Magalas, Madame Isabelle BARRAILLÉ (55 ans)

à 15h, en l’église de Graissessac, Madame Monique JALABERT (78 ans)

  • Jeudi 30

à 14h30, en l’église de Magalas, Madame Jeanine REGEN (74 ans)

 

Obsèques du lundi 20 au dimanche 26 janvier 2025

  • Lundi 20

à 10h en l’église de Saint Louis de Bédarieux, Madame Renée MARSAL (75 ans)

  • Mardi 21

à 15h30, en l’église de Lamalou,  Monsieur Christian LE PUIL (75 ans)

  • Jeudi 23

à 15h, en l’église de Caunas, Madame Anne-Marie RIONDET (86 ans)

  • Vendredi 24

à 9h30, en l’église de Laurens, Monsieur Jacques BARCELO (84 ans)

  • Samedi 25

à 14h30, en l’église de Puimisson, Monsieur Francis MIRA (88 ans)

Mercredi 15 janvier de 15h à 16h30

Les compagnons de l’Agneau

Ainsi, pour suivre les traces de sainte Imelda, de la servante de Dieu Anne-Gabrielle Caron et de tant d’autres, les enfants ((0-12 ans) qui le désirent sont invités à Saint Joseph de Mont-Rouge, une fois par mois, pour adorer Jésus et prendre de petits engagements pour L’aimer chaque jour davantage. Au fil des rencontres, nous espérons devenir de véritables compagnons de l’Agneau, le suivant partout où il va dans la fidélité et la joie (Ap 14,4)

Au programme :
– une petite causerie tenue par une moniale ou un prêtre (présentation d’un saint, de la spiritualité du Cœur de Jésus, réponses aux questions des enfants etc…),
– un temps d’adoration adapté aux enfants,
– un temps de jeu
– et de goûter entre Marie et Joseph.

 » Nous devons déborder d’espérance !  » Extraits choisis de la lettre du Pape « L’espérance ne déçoit pas »

 

Voici quelques extraits choisis de la lettre (par ici pour la lettre  (spes non confundit : lire le texte sur le site du Vatican)du pape François (dit bulle d’indiction « Spes non Confundit ») adressée à toute l’Eglise pour inviter à vivre la démarche du Jubilé en 2025. « Puisse l’espérance remplir le cœur de ceux qui liront cette lettre », a-t-il déclaré.

Marie, mère de l’espérance

24. L’espérance trouve dans la Mère de Dieu son plus grand témoin. En elle, nous voyons que l’espérance n’est pas un optimisme vain, mais un don de la grâce dans le réalisme de la vie. Comme toute maman, chaque fois qu’elle regardait son Fils, elle pensait à son avenir, et certainement dans son cœur restaient gravées les paroles que Siméon lui avait adressées dans le temple : « Voici que cet enfant provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de contradiction et toi, ton âme sera traversée d’un glaive » (Lc 2, 34-35). Et au pied de la croix, alors qu’elle voit Jésus innocent souffrir et mourir, bien que traversée d’une immense souffrance elle répète son “oui”, sans perdre ni l’espérance ni la confiance dans le Seigneur. Elle collaborait de cette façon, pour nous, à l’accomplissement de ce que son Fils avait dit, en annonçant « qu’il fallait que le Fils de l’homme souffre beaucoup, qu’il soit rejeté par les anciens, les grands prêtres et les scribes, qu’il soit tué, et que, trois jours après, il ressuscite » (Mc 8, 31). Et dans le tourment de cette douleur offerte par amour, elle devenait notre Mère, la Mère de l’espérance. Ce n’est pas un hasard si la piété populaire continue à invoquer la Sainte Vierge comme Stella Maris, un titre qui exprime l’espérance sûre que, dans les vicissitudes orageuses de la vie, la Mère de Dieu vient à notre aide, nous soutient et nous invite à avoir confiance et à continuer d’espérer.

Ne jamais perdre l’espérance qui nous a été donnée

25. En route vers le Jubilé, revenons à l’Écriture Sainte et écoutons ces paroles qui nous sont adressées : « Cela nous encourage fortement, nous qui avons cherché refuge dans l’espérance qui nous était proposée et que nous avons saisie. Cette espérance, nous la tenons comme une ancre sûre et solide pour l’âme ; elle entre au-delà du rideau, dans le Sanctuaire où Jésus est entré pour nous en précurseur » (He 6, 18-20). C’est une invitation forte à ne jamais perdre l’espérance qui nous a été donnée, à nous y agripper en trouvant refuge en Dieu.