A l’occasion de la Saint Fulcran, la messe sera célébrée à la chapelle Saint Fulcran, en espérant que la météo soit clémente.

Auquel cas, elle sera déplacée à l’église. A suivre…

 Alors que les vendanges ont commencé, nous nous apprêtons à lancer notre année pastorale. Pour chaque récolte de raisins, il y a une part de joie, d’inquiétude, de peur, voire de déception. Il n’est pas toujours facile de composer avec les aléas de la nature, du travail, de la conjoncture . Tout ne dépend pas de nous, même si nous donnons le meilleur de nous-mêmes.

Il en est de même dans la vigne du Seigneur, il y a de la place pour tous, le travail est vaste. Nous pouvons avoir le sentiment de beaucoup semer, de beaucoup donner, et de ne pas voir la récolte. Et pourtant, elle est là cette récolte surabondante, si nous la regardons avec ce regard d’espérance. Ce n’est pas pour rien que nous cheminons avec cette belle vertu depuis plusieurs mois. Les uns et les autres, nous en avons bénéficié lors de nos démarches jubilaires. De plus, dans la grande vigne de nos paroisses s’élèvent non seulement les chants des vendangeurs, mais aussi la joie de voir de beaux fruits et cela devrait nous réjouir.

Chaque jour, le Seigneur accomplit des merveilles, chaque jour le Seigneur est patient, fidèle envers chacun de nous, et avec Lui, Il nous invite à être des fidèles qui Le bénisse, qui annonce à temps et à contretemps la Bonne Nouvelle du Salut.

L’évangile du premier septembre nous donnera à méditer Jésus qui revient dans son pays à Nazareth, où Il avait grandi. Lorsqu’Il rentre dans la synagogue pour la prière, Il ouvre le livre et trouve le passage du prophète Isaïe : « L’Esprit du Seigneur est sur moi parce que le Seigneur m’a consacré par l’onction. Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux captifs leur libération, et aux aveugles qu’ils retrouvent la vue, annoncer une année favorable accordée par le Seigneur. » (Luc 4,18). Tout un beau programme qui se dessine ! D’autant plus, lorsque Jésus eut fermé le livre. Il les regarda tous et, dans une grande joie, Il leur dit : « Aujourd’hui s’accomplit ce passage de l’Ecriture que vous venez d’entendre. » (Luc 4,21)

N’est-ce pas une belle parole pour nous dans cet aujourd’hui du Seigneur ? Laissons-Le agir en nous et à travers nous, ainsi nous vivrons une nouvelle année pastorale pleine de joie et de paix, dans nos réussites, nos limites et nos manquements.

Bonne rentrée à vous tous et je vous dis à très bientôt, pour certains, le 7 à Notre Dame de Nize et le 28 à Mont-Rouge pour notre messe de rentrée paroissiale.

SUR RÉSERVATION  : 04 67 41 36 36

• Prix : Tarif 15€
• Adresse : Avenue Émile Claparède 34500 Béziers
• Date : Vendredi 31 mai 2024

La Pastorale de la Santé a grand besoin de votre aide et de votre relais sur le terrain.

Elle recherche en urgence des personnes pour renforcer les équipes des aumôneries hospitalières qui sont à flux tendus depuis plusieurs mois.

Si vous êtes intéressés, veuillez contacter le secrétariat qui vous communiquera l’offre de recrutement. (secretariat.stmartin.ndlumieres@gmail.com)

Merci pour votre implication

l’Église célèbre la fête l’Annonciation du Seigneur. Elle commémore l’annonce faite à la Vierge Marie par l’ange Gabriel de sa maternité divine. Par son oui, elle accepte de donner naissance au « Fils du Très-Haut ». Neuf jours pour, selon son exemple, accueillir plus intensément la Parole de Dieu et dire oui à la volonté du Seigneur.

« Voici la servante du Seigneur ; que tout m’advienne selon ta parole » (Luc 1, 38) répond Marie à l’ange venu la visiter. C’est par ses mots qu’advient le fiat de Marie, permettant ainsi l’entrée du salut dans le monde à travers le mystère de l’Incarnation. .

La prière de l’Angélus appelle les fidèles à commémorer le récit évangélique de l’Annonciation.

Elle se récite trois fois par jour : le matin, le midi et le soir, au son de la cloche qui tinte à chaque fois à trois reprises.

« Je désire que le monde entier connaisse ma Miséricorde. Parle au monde entier de ma bonté et ainsi tu consoleras mon cœur. Tu es la secrétaire de ma Miséricorde. Aujourd’hui, je t’envoie vers toute l’humanité avec ma Miséricorde. Je ne veux pas punir l’humanité endolorie, mais je désire la guérir en l’étreignant sur mon cœur miséricordieux ; avant le jour de la justice, j’envoie le jour de la Miséricorde » (Petit Journal de Sainte Faustine, 1588).