Cinéma Jean-Claude CARRIÈRE
Avenue des Justes parmi les Nations, 34600 Bédarieux
l’entrée est soumise aux règles sanitaires en vigueur
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Le 18 octobre prochain, l’AED lance une campagne mondiale de prière pour la paix dans le monde intitulée « un million d’enfants prient le chapelet ».
Mardi 18 octobre 2022, l’AED invite comme chaque année les familles, les catéchistes, les enseignants à prier le chapelet avec les enfants pour la paix dans le monde. Cette campagne mondiale de prière s’appuie sur la demande de Notre-Dame de Fatima aux petits bergers de prier le chapelet tous les jours, certaine que la prière enfantine et confiante du chapelet peut véritablement changer le monde, vaincre le mal et apporter la paix.
Pour cette année 2022, « nous voudrions confier tout particulièrement les pays où règnent la guerre, la violence et la grande détresse, comme l’Ukraine, le Proche-Orient, le Nigeria, la zone sahélienne de l’Afrique et partout où les peuples ne peuvent pas vivre en liberté » précise le cardinal Piacenza, président international de l’AED, insistant: « Marie veut que notre terre devienne pour tous un foyer où règne l’amour de Dieu et où plus personne n’ait à souffrir de la peur et de la détresse. »
« Si un million d’enfants prient le chapelet, le monde changera. »
Cette campagne de prière du chapelet pour les enfants a été lancée en 2005 à Caracas, la capitale vénézuélienne. Alors que plusieurs enfants priaient le chapelet dans un sanctuaire, certains ont rappelé les paroles de Saint Padre Pio : « Si un million d’enfants prient le chapelet, le monde changera ». Dès lors, la campagne s’est rapidement répandue dans le monde. L’AED soutient le projet depuis 2008 et a repris l’organisation de l’événement au niveau mondial. Chaque année, des centaines de milliers d’enfants répondent à l’appel.
www.youtube.com/watch?v=GHn9n82oxo8
Coloriages
Lorsqu’il parle de son Père, du Royaume, de l’homme, Jésus aime à parler en paraboles. La force évocatrice de ces histoires simples bouleverse petits et grands. Ces cours récits mettent à l’épreuve toute représentation humaine du monde et de Dieu. Aussi le frère Dominique-Joseph, fsj, invite à prendre le temps de l’écoute pour apprécier chaque niveau de lecture des paraboles. Entendre la poésie du texte, se laisser porter par la logique du récit, être admiratif de la construction des paraboles, étudier leur composition littéraire et, finalement, contempler le portrait de l’homme et le visage du Père esquissé par le Seigneur Jésus au fil des trente et quelques paraboles rassemblées dans les Évangiles.
Avant la faute originelle, Adam vivait en harmonie avec son Créateur dans la Divine Volonté. En mangeant du fruit défendu, il quitta l’océan paradisiaque de la Divine Volonté pour faire sa volonté propre. Et il perdit Tout. Aujourd’hui, à travers Luisa Piccarreta (1865-1947), mystique italienne, Dieu nous ouvre à nouveau les portes du palais de la Divine Volonté afin de rétablir l’Homme dans son état initial d’avant la faute.
Prédication par le père Tchonang, prêtre du diocèse de Strasbourg, enseignant à l’Université catholique.
Pour le détail des journées, c’est par ici : https://fsj.fr/fsj/divine-volonte-2210/
Il reste des places ! Infos et pré-inscription : 06.60.06.15.44
Départ samedi 8 octobre. Plusieurs prises en charge sont proposées :
Départ impératif du car à l’heure annoncée. Prévoir d’arriver 15 minutes à l’avance
Merci de votre compréhension.
Dimanche 11 septembre 2022 – 24ème Dimanche C
Saint Joseph de Mont-Rouge à Puimisson
Installation du curé
Quel merveilleux signe du Seigneur en ce Dimanche de rentrée pour vos paroisses et votre communauté et pour cette messe d’installation de vos pasteurs, que le beau signe de la Miséricorde !
Vous l’avez entendu : il y a un point commun dans les lectures de ce Dimanche : Dieu met sa joie à chercher et à trouver la brebis perdue.
Deux paraboles pour nous dire et nous redire que la miséricorde du Seigneur se manifeste inlassablement et qu’il ne se résout pas à voir ses créatures tant aimées se perdre. Là est le grand mystère de l’Incarnation et de la Rédemption : Le Fils de l’Homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu.
Quelle belle perspective aussi pour commencer une nouvelle année pastorale que de réentendre ces merveilleux passages de l’Ecriture qui nous parlent de proximité de Dieu à notre égard, de joie, de pardon, de renouveau, et de la promesse du Christ de nous donner la vie éternelle.
Remarquons toutefois que L’Evangile commence par cette annotation : Les scribes et les pharisiens récriminaient contre Jésus ….
Les récriminations ne sont hélas pas absentes de nos conversations, y compris dans les relations en Eglise. Vous savez, il y a des personnes qui trouvent toujours que quelque chose ne va pas, sous-entendu, qui ne va pas comme elles voudraient que cela aille et qui commencent leur propos par : il n’est pas normal que… ou pire, je ne suis pas d’accord ….
Il est tout à fait normal d’exprimer et de faire valoir des points de vue différents et d’apporter des critiques, à la condition qu’elles enrichissent et construisent.
Mais faisons-le toujours dans un esprit de charité et de communion.
Aux récriminations, préférons la parole de St Paul qui a précédé la lecture de l’Evangile : Dans le Christ, Dieu réconciliait le monde avec lui : il a mis dans notre bouche la parole de réconciliation.
Miséricorde et réconciliation vont de pair, nous le savons bien.
Jésus, à travers ses paraboles, révèle aux pharisiens et aux scribes que les vrais perdus et les vrais perdants, ce sont eux. Avec leur intransigeance ils sont plus loin du cœur de Dieu que les pécheurs. Ils sont incapables de se réjouir avec Dieu quand les pécheurs se convertissent.
Que chacun et chacune de nous s’en souvienne : nous sommes tous des enfants perdus, mais des enfants à qui Dieu prodigue son pardon sans limites : c’est en accueillant son pardon et en changeant nos cœurs que nous faisons sa joie, c’est en cela que nous sommes dignes de tout service et ministère dans son Eglise.
Dans la deuxième lecture, nous avons précisément entendu le témoignage de l’apôtre Paul, que le Seigneur a appelé à son service alors qu’il était le pire persécuteur des chrétiens. Paul a bien conscience que ce qu’il est maintenant, il le doit totalement à la grâce et à la miséricorde de Dieu.
Ce témoignage, ou plutôt cette confession de foi de Paul, demeure un modèle pour les pasteurs de l’Église. Chacun peut reprendre à son compte les paroles de l’Apôtre : Bien-aimé, je suis plein de gratitude envers celui qui me donne la force, le Christ Jésus notre Seigneur, car il m’a estimé digne de confiance lorsqu’il m’a chargé du ministère…
Il faut que, nous pasteurs, nous nous souvenions qu’il nous a été fait miséricorde et que nous vivons de la grâce du Seigneur, de son pardon. Notre force, c’est la sienne.
Nous ne pouvons rien faire sans son amour, et sa lumière et sa puissance. Nous ne pouvons pas mener des projets missionnaires à bien, si nous ne nous laissons pas conduire par le Seigneur.
Rappelons-nous la parole du psaume : Si le Seigneur ne bâtit la maison, les ouvriers travaillent en vain.
C’est à cette confiance que je vous invite, frères Philippe et Jérémie, aujourd’hui en vous confiant cette charge.
La mission du curé ne peut se vivre seule. Et c’est pour cela que vous aussi vous avez une mission en tant que paroissiens. Cette mission est celle de prendre soin des prêtres qui vous sont envoyés. Vous pouvez le faire de bien des manières, l’Eglise a besoin de tout le monde, quelle que soit la tâche, aussi humble soit-elle, dans la prière ou dans l’action, dans le service, dans la multitude des services que composent une paroisse.
Le pasteur prie pour ceux qui lui sont confiés. Vous aussi, priez pour lui, pour qu’il soit rempli de cet Esprit de sainteté et de sagesse, pour qu’il soit pour vous un bon pasteur, selon le Cœur de Dieu.
La messe sera célébrée à 17h30, à l’occasion de la date anniversaire de la dédicace de l’église de Saint Genis de Fontedit
Pour en savoir plus sur cette dédicace, voici un article écrit par M. BARTHÈS Anniversaire de la dédicace de l'église de Saint Geniès de Fontedit