Le Dieu qui pardonne est tellement mis en avant dans la prédication qu’on pourrait penser qu’il a remplacé l’ancien Dieu, le juge des jansénistes et des scrupuleux. L’heure serait à la liberté, à l’amour et à la miséricorde. On finit même par se dire que le jugement ne peut pas faire partie de l’amour, lequel comprend tout, supporte tout, ne voit pas le mal, accueille inconditionnellement.
Or le jugement, le purgatoire et l’enfer font partie de la révélation, Jésus lui-même l’évoque dans sa prédication et l’explique en paraboles. Ainsi, entre jugement et miséricorde, il n’y a pas d’opposition, tout est affaire d’équilibre.
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