Auteur/autrice : Père Joseph-Marie

Message important de nos Évêques !

Voici un document important de nos Évêques qui concerne :

  • les premières communions
  • les baptêmes d’adultes
  • les confirmations
  • les professions de foi
  • les activités catéchétiques des enfants

Il est un peu long, mais beaucoup y trouveront réponse à leurs interrogations.

(Cliquez sur « Télécharger » et le document sera téléchargé sur votre ordinateur)

Si vous avez des questions plus précises, n’hésitez pas à me les poser (pjm@fsj.fr) plutôt que de vous adresser directement à la coordination diocésaine.

A tous : patience et courage dans l’attente de jours meilleurs !

En union de prière,

P. Joseph-Marie

 

Message important de nos Évêques !

Voici un document important de nos Évêques qui concerne :

  • les premières communions
  • les baptêmes d’adultes
  • les confirmations
  • les professions de foi
  • les activités catéchétiques des enfants

Il est un peu long, mais beaucoup y trouveront réponse à leurs interrogations.

(Cliquez sur « Télécharger » et le document sera téléchargé sur votre ordinateur)

Si vous avez des questions plus précises, n’hésitez pas à me les poser (pjm@fsj.fr) plutôt que de vous adresser directement à la coordination diocésaine.

A tous : patience et courage dans l’attente de jours meilleurs !

En union de prière,

P. Joseph-Marie

Prière de Marcel Van pour la France

Prière dictée par Jésus à Marcel Van :

« Petit enfant de mon Amour, écoute, je vais te dicter une prière, et cette prière, je veux que les Français me la récitent. »

Seigneur Jésus,

Aie compassion de la France,

Daigne l’étreindre dans ton Amour et lui en montrer toute la tendresse.

Fais que, remplie d’Amour pour toi,

Elle contribue à te faire aimer de toutes les nations de la terre.

Ô Amour de Jésus,

Nous prenons ici l’engagement de te rester fidèles et de travailler d’un cœur ardent à répandre ton Règne dans tout l’univers.

Amen

 

Marcel Van (1928-1945)

Marcel Van est né en 1928 près de Hanoï (Vietnam) ; souhaitant devenir prêtre il entre dans une congrégation française, en 1945 il est arrêté par les communistes, il meurt en prison le 10 juillet 1959.

Cette prière lui a été donnée par le Christ lors d’une apparition.

 

Prière de Marcel Van pour la France

Prière dictée par Jésus à Marcel Van :

« Petit enfant de mon Amour, écoute, je vais te dicter une prière, et cette prière, je veux que les Français me la récitent. »

Seigneur Jésus,

Aie compassion de la France,

Daigne l’étreindre dans ton Amour et lui en montrer toute la tendresse.

Fais que, remplie d’Amour pour toi,

Elle contribue à te faire aimer de toutes les nations de la terre.

Ô Amour de Jésus,

Nous prenons ici l’engagement de te rester fidèles et de travailler d’un cœur ardent à répandre ton Règne dans tout l’univers.

Amen

 

Marcel Van (1928-1945)

Marcel Van est né en 1928 près de Hanoï (Vietnam) ; souhaitant devenir prêtre il entre dans une congrégation française, en 1945 il est arrêté par les communistes, il meurt en prison le 10 juillet 1959.

Cette prière lui a été donnée par le Christ lors d’une apparition.

 

 

Homélie de Méliton de Sardes sur la Pâque

Mystère toujours nouveau.

Comprenez-le, mes bien-aimés : le mystère de la Pâque est ancien et nouveau, provisoire et éternel, corruptible et incorruptible, mortel et immortel.

Il est ancien en raison de la Loi, mais nouveau en raison du Verbe ; provisoire en ce qu’il est figuratif, mais éternel parce qu’il donne la grâce ; corruptible puisqu’on immole une brebis, mais incorruptible parce qu’il contient la vie du Seigneur ; mortel, puisque le Seigneur est enseveli dans la terre, mais immortel par sa résurrection d’entre les morts.

Oui, la Loi est ancienne, mais le Verbe est nouveau ; la figure est provisoire, mais la grâce est éternelle ; la brebis est corruptible, mais le Seigneur est incorruptible, lui qui a été immolé comme l’agneau, et qui ressuscita comme Dieu.

Car il a été conduit comme une brebis vers l’abattoir, alors qu’il n’était pas une brebis ; il est comparé à l’agneau muet, alors qu’il n’était pas un agneau. En effet, la figure a passé, et la vérité a été réalisée : Dieu a remplacé l’agneau, un homme a remplacé la brebis, dans cet homme, le Christ, qui contient toute chose.

Ainsi donc, l’immolation de la brebis et le rite de la Pâque et la lettre de la Loi ont abouti au Christ Jésus en vue de qui tout arriva dans la loi ancienne et davantage encore dans l’ordre nouveau.

Car la Loi est devenue le Verbe, et, d’ancienne, elle est devenue nouvelle (l’une et l’autre sorties de Sion et de Jérusalem), le commandement s’est transformé en grâce, la figure en vérité, l’agneau est devenu fils, la brebis est devenue homme et l’homme est devenu Dieu. ~

Le Seigneur, étant Dieu, revêtit l’homme, souffrit pour celui qui souffrait, fut enchaîné pour celui qui était captif, fut jugé pour le coupable, fut enseveli pour celui qui était enseveli. Il ressuscita des morts et déclara à haute voix : Qui disputera contre moi ? Qu’il se présente en face de moi ! C’est moi qui ai délivré le condamné ; c’est moi qui ai rendu la vie au mort ; c’est moi qui ai ressuscité l’enseveli. Qui ose me contredire ? C’est moi, dit-il, qui suis le Christ, qui ai détruit la mort, qui ai triomphé de l’adversaire, qui ai lié l’ennemi puissant, et qui ai emporté l’homme vers les hauteurs des cieux ; c’est moi, dit-il, qui suis le Christ.

Venez donc, toutes les familles des hommes, pétries de péchés, et recevez le pardon des péchés. Car c’est moi qui suis votre pardon, moi la Pâque du salut, moi l’agneau immolé pour vous, moi votre rançon, moi votre vie, moi votre résurrection, moi votre lumière, moi votre salut, moi votre roi. C’est moi qui vous emmène vers les hauteurs des cieux ; c’est moi qui vous ressusciterai ; c’est moi qui vous ferai voir le Père qui existe de toute éternité ; c’est moi qui vous ressusciterai par ma main puissante.

Homélie de Méliton de Sardes sur la Pâque

Mystère toujours nouveau.

Comprenez-le, mes bien-aimés : le mystère de la Pâque est ancien et nouveau, provisoire et éternel, corruptible et incorruptible, mortel et immortel.

Il est ancien en raison de la Loi, mais nouveau en raison du Verbe ; provisoire en ce qu’il est figuratif, mais éternel parce qu’il donne la grâce ; corruptible puisqu’on immole une brebis, mais incorruptible parce qu’il contient la vie du Seigneur ; mortel, puisque le Seigneur est enseveli dans la terre, mais immortel par sa résurrection d’entre les morts.

Oui, la Loi est ancienne, mais le Verbe est nouveau ; la figure est provisoire, mais la grâce est éternelle ; la brebis est corruptible, mais le Seigneur est incorruptible, lui qui a été immolé comme l’agneau, et qui ressuscita comme Dieu.

Car il a été conduit comme une brebis vers l’abattoir, alors qu’il n’était pas une brebis ; il est comparé à l’agneau muet, alors qu’il n’était pas un agneau. En effet, la figure a passé, et la vérité a été réalisée : Dieu a remplacé l’agneau, un homme a remplacé la brebis, dans cet homme, le Christ, qui contient toute chose.

Ainsi donc, l’immolation de la brebis et le rite de la Pâque et la lettre de la Loi ont abouti au Christ Jésus en vue de qui tout arriva dans la loi ancienne et davantage encore dans l’ordre nouveau.

Car la Loi est devenue le Verbe, et, d’ancienne, elle est devenue nouvelle (l’une et l’autre sorties de Sion et de Jérusalem), le commandement s’est transformé en grâce, la figure en vérité, l’agneau est devenu fils, la brebis est devenue homme et l’homme est devenu Dieu. ~

Le Seigneur, étant Dieu, revêtit l’homme, souffrit pour celui qui souffrait, fut enchaîné pour celui qui était captif, fut jugé pour le coupable, fut enseveli pour celui qui était enseveli. Il ressuscita des morts et déclara à haute voix : Qui disputera contre moi ? Qu’il se présente en face de moi ! C’est moi qui ai délivré le condamné ; c’est moi qui ai rendu la vie au mort ; c’est moi qui ai ressuscité l’enseveli. Qui ose me contredire ? C’est moi, dit-il, qui suis le Christ, qui ai détruit la mort, qui ai triomphé de l’adversaire, qui ai lié l’ennemi puissant, et qui ai emporté l’homme vers les hauteurs des cieux ; c’est moi, dit-il, qui suis le Christ.

Venez donc, toutes les familles des hommes, pétries de péchés, et recevez le pardon des péchés. Car c’est moi qui suis votre pardon, moi la Pâque du salut, moi l’agneau immolé pour vous, moi votre rançon, moi votre vie, moi votre résurrection, moi votre lumière, moi votre salut, moi votre roi. C’est moi qui vous emmène vers les hauteurs des cieux ; c’est moi qui vous ressusciterai ; c’est moi qui vous ferai voir le Père qui existe de toute éternité ; c’est moi qui vous ressusciterai par ma main puissante.